Mascaria
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 Peuples et races de Mascaria

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Lyn
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MessageSujet: Peuples et races de Mascaria   Peuples et races de Mascaria EmptyDim 1 Sep - 14:12

Peuples et Races


Peuple Libre


Le Peuple Libre est le plus ancien de tous les peuples de Mascaria. Il existait avant que ne soient fondées les premières cités knéoliennes et que les îles d'été n'aient été colonisées. Il existait bien avant que ne viennent sur leurs antiques terres les armées maésiennes et leurs chefs orgueilleux. Le Peuple Libre a vu naître et grandir l'humanité toute entière. On peut même dire qu'elle en est, quelque part, le berceau.
Ses membres sont fiers et rudes. Ils guerroient pour vivre, festoient pour manger et n'aiment vraiment que leur liberté et leur femme. Ils n'ont de compte à rendre qu'à eux-mêmes et ne connaissent pour toute justice que celle des armes, des règlements de compte, des vengeances, du sang versé pour un affront ou un crime. Leur culture est une culture guerrière et séculaire. Les hommes libres sont craints au combats et ne jurent que par leurs ancêtres et les dieux de leur patrie.
Ils ne possèdent certes pas le luxe des Maésiens, ni leur avancée technologique et leur force navale. Néanmoins, leur fureur de vivre est sans limite. Leurs armes ont les couleurs du soleil et de la lune lorsque les ciels sont sublimes dans la Nature. Leurs emblèmes ont le goût de la sauvagerie et du raffinement barbare, fait de bijoux d'étain, d'étreintes d'hommes et de femmes égaux sous des tentes ornées de peaux de bêtes et d'armes irisées.


Royaume de Kneol


Le Royaume de Kneol fut le premier royaume sédentaire qui vit se développer en son sein de grandes cités telles que Chest ou Obra et qui imposa au monde de Mascaria une certaine hégémonie dans les premiers temps de l'avènement des hommes. Sa culture est riche, entièrement tournée vers le culte de Mewan et la chevalerie. Ses mythes et ses légendes exhortent le courage, la vaillance, la douceur d'un amour pur et sincère, et dresse de la beauté un portrait élogieux.
Les Knéoliens sont, contrairement aux autres peuples, encore très imprégnés de magie et de mystères. Preuve en est du commerce de l'eau des sources azurées qui y a cours, ou du nombre de sculpteurs de bois-de-feu qui exercent à l'est de Kneol. En outre, la confrérie magique est, avec les nobles, le groupe social le plus influent à Kneol. Du reste, les mages sont aussi l'atout principal du royaume de Kneol.
Terre de Magie, terre de mystère, de folklore, d'amours troubles et passionnés, Kneol est un pays faits de légendes où, à travers le dogme de Mewan, les fêtes populaires paysannes, les secrets seigneuriaux  et les bastions ancestraux, se perpétue une tradition chevaleresque et mystique séculaire.


Empire Maésien


Les Maésiens ont naturellement une inclination à l'indolence insolente, au luxe immodéré, à l'orgueil généreux. Et comment ne pas l'être, en effet, lorsque l'empire dont est citoyen domine le monde mascarien depuis plus de quatre siècles ? Terre de grandeur, terre d'empire, terre de fastes, de lucres, de luxueuses agapes et de prostitués hors de prix, le Maésie est aussi sulfureuse que puissante.
Ses citoyens côtoient, où qu'ils aillent, la beauté de l'architecture des temples impériaux, des palais Vaknins, la haute noblesse maésienne, et l'ordre qui règne partout en Maésie. Le luxe et la richesse leurs paraissent naturelles, de même que l'obéissance des autres peuples et des esclaves dont ils font le commerce et qui exercent chez eux les tâches quotidiennes. Les Maésiens ont le goût de la beauté et s'environnent, dans d'immenses villas, ou dans leur modeste habitat, de sculpture de bronze, de stuc, ou de marbre, d'objets d'arts et d’orfèvrerie trouvés aux quatre coins de Mascaria, au cours de longs et pénibles voyages.
La nation Maésienne porte en elle la certitude d'être intouchable, toute-puissante et garante d'un équilibre mondial précaire. Ses armées sont efficaces et organisées, ses soldats sont entraînés, rompus aux combats depuis leur plus jeune âge, ainsi qu'à la stratégie militaire et à l'obéissance à leur supérieur. Ses femmes sont fécondes et voluptueuses, ses hommes généreux et habiles en affaire ; ses enfants quant à eux, sont vigoureux et forts.


Pirates




Peuples et races de Mascaria 262223Pirate

Rebelles à toute autorité, les pirates sont les honnis, les bannis, les conscrits de Mascaria venus de tous les horizons et que la vie n'a pas épargnés : hors-la-loi, chiens-galeux, vagabonds, brigands, exilés politiques, misérables rancuniers du bonheur des uns se retrouvent et pullulent dans leurs rangs de guerriers maudits festoyant sur les ruines de leurs massacres et sur l'autel de la liberté. Tous ont vécu les tristes destins réservés aux conscrits, aux rejetés du monde et se sont retrouvés, en désespoir de cause, acculés à fuir chez les pirates afin de survivre, et adhérant à la cause de ces derniers. Pourtant tous sont épris de liberté, d'aventure et d'océan.
Les pirates ne reconnaissent que leur chef, Hizan, élu à la majorité lors d'une assemblée historique qui rassembla les pirates de tous les horizons afin de décider du sort de leur peuple tout entier et dont l'histoire est contée dans Le Livre des Morts. Pour le reste, un pirate ne répond que de lui-même et vit de pillages, de rapines, de banquets et de débauches.  Rien ne saurait perturber leur quotidien fait d'alcool, de femmes, d'idéaux francs et libérés, et de navigation féroce sur les océans mascariens. Ils sont, à ce jour, l'une des plus grandes menaces qui pèsent sur tous les continents.


Îles d'été


Habiles orateurs et fervents pacifistes, les Îliens sont d'excellents diplomates et négociateurs. C'est la raison pour laquelle les Îles d'été ne possèdent que peu d'hommes armés, hormis les gardes princiers et les dompteurs d'aigles des îles qui font la fierté du peuple tout entier : les Îliens n'engagent jamais, ou rarement la guerre. Et, lorsque tel est le cas, ils s'assurent de l'appui de leur allié séculaire, l'empire Maésien, et emploient, grâce à leur or, de nombreux mercenaires de tous les horizons.
Pour autant, les nations îliennes sont loin d'être écrasées. Leur commerce est plus florissant que jamais et ne cesse de fonder de nouveaux comptoirs où on voit des commerçants des îles à la peau orangée comme seuls les Îliens peuvent en avoir s'activer en tout sens, criant des ordres, et gesticulant sans cesse afin que s'active ses marins à décharger les cargaisons de noix des îles, de fleur de songes, ou encore de l'ambre de Maésie, ou des sculptures de bronze du Peuple Libre.
Les habitants des îles ont ce don pour le commerce, la tranquillité et la suave paix qui les fait apprécier de tous les autres peuples, et particulièrement des Maésiens qui aiment discuter avec eux de philosophie et de droit. Du reste, les Îliens ont la particularité de s'amuser de rien et d'user sans restriction d'une ironie mordante et d'une verve vibrante qui a fait la réputation de leur peuple à travers tous les continents.


Daleens


Enfants des dieux, les Daleens sont des êtres puissants. Dans leurs veines coule le sang des dieux antiques et de l'ancienne magie. Leurs pouvoirs sont grands, leur force colossale, leur esprit aiguisé et à l'affût. Leurs talents sont multiples, et ils sont aussi forts que raffinés. Ils n'en restent pourtant pas moins des êtres de chair, mortels et imparfaits.
Puissants, les Daleens le sont à l'excès. Et l'excès engendre aussi bien les plus grandes choses que les plus grandes catastrophes. La puissance des Daleens les conduit à s'aveugler sur eux-mêmes et à faire preuve d'orgueil et de vanité. D'une force sans égale, ils sont également méprisants, arrogants, hautains, et sans pitié. Leur intelligence s'accompagne d'une sorte de sentiment de supériorité tout à fait particulier qu'ils ne remettent que rarement en cause, et qui les conduit inévitablement à sous-estimer leurs adversaires des autres races. Comme si, le simple fait d'être issue de la race des Daleens leur procurait une sorte d'immunité évidente qui les mena, lors de la guerre des dieux, à un endormissement de plusieurs millénaires et à la mort de presque toutes leurs races.
Pour autant, les Daleens ne sont pas dénués de qualités. Ils sont formidablement beaux, et d'un esprit naturellement porté vers la poésie et les belles choses. Ils aiment à s'entourer de femmes, d'objets d'art, regarder des spectacles époustouflants, créer des merveilles de splendeur grâce à leur magie. Ils aiment la musique, et regardent souvent frissonner la nature lorsque de grands sentiments les submergent. La terre qu'ils foulent, ils la considèrent avec amour et respect. Leur esprit est empli des états d'âme les plus puissants et les plus forts ; les Daleens aiment et haïssent comme seuls les enfants des dieux peuvent aimer et haïr : les deux ensemble, et sans limite. Ils sont ainsi, au-delà de toute considération morale, les catalyseurs des grands changements, des âges d'or, et des chutes.

Outre les cinq peuples et races principaux de Mascaria, vous est proposé de jouer des races moins importantes, mais tout aussi intéressantes à incarner. Ces races ont une moindre importance sur Mascaria, toutefois ce n'est pas pour autant que votre personnage n'aura aucun pouvoir, bien au contraire. Les aléas de l'existence vont et défont les choses ; il est tout à fait possible qu'un personnage d'une race mineure ait un grand destin sur Mascaria.



Naratorïa




Peuples et races de Mascaria 159425Naratora5

A l'est des terres libres, niché au nord des falaises pourpres à la lisière du bois frémissant vit le peuple des Naratorïas, peuple mystérieux et secret dont on ne sait que peu de choses. Ses enfants ont la peau blanche et les yeux clairs. Leur maintien est altier et sauvage à la fois ; ils sont sveltes, élancés, véloces, et dégagent un parfum surnaturel qui tient plus de l'animal que de l'homme et qui leurs procurent une aura quasi-mystique.
Leur culture, très développée, reste un mystère pour les hommes qui ne voient dans leurs rites, faits de peinture corporelles, de plumes colorées, de tissus brodés et de danses que des absurdités de sauvages ignorants. Cette culture sculpte le bois pour en faire des divinités primitives, utilise des plumes d'oiseaux exotiques et des peaux d'animaux inconnus pour se faire des vêtements et des masques qui les parent d'un mystère antique datant de l'ère où les dieux étaient encore tout jeunes et parcouraient librement Mascaria.
Du reste, la magie s'exhale des Naratorïas au moindre de leurs mouvements, bien que nul ne sache véritablement quelle en est la source véritable. Certains pensent qu'elle est issue des cristaux qu'ils portent autour de leur cou, ou ornant leur front ; d'autres professent que les Naratorïas sont nés en même temps que le monde et qu'ils sont intimement liés à la magie de celui-ci, comme si ils étaient une part même de cette magie et inversement. Tout cela ne reste que des conjectures, et certainement est-ce un peu de tout cela à la fois.
Quoiqu'il en soit, les Naratorïas forment un peuple mythique issu des temps les plus anciens de Mascaria et au sein duquel la magie est encore puissante, recelant des secrets bien gardés et des formes insoupçonnées.


Sirènes


Race marine, les sirènes peuplent les îles aux alentours de l'Archipel des Pirates et sont, la plupart du temps pacifiques. Néanmoins, des légendes affirment qu'elles charment, les soirs de grandes tempêtes, les marins piégés par les vents, afin des les emporter avec elles dans l'océan, dans le but de récupérer leur or et leurs biens. C'est pourquoi tous les peuples de Mascaria nourrissent tant de défiance envers elles. Pour autant, ces noirs récits n'empêchent pas les pirates de commercer avec elles, qui leur troquent de l'or, des bijoux ou des denrées rares comme des fruits exotiques, contre des perles, des fruits de mer, de précieux conseils sur la mer et les vents. Des marins racontent également que de jeunes loups de mer tentent leur chance auprès des sirènes, espérant vivre une nuit de passion secrète avec ces créatures mythiques. Rien ne dit si ces marins parviennent à leurs fins, ou s'ils sont au contraire rejetés, peut-être tués, ou noyés.
Les sirènes, contrairement aux représentations classiques qu'on a pu en faire n'ont pas exclusivement la forme d'une femme-poisson. Elles ne revêtent cette forme que lorsqu'elles désirent s'immerger dans l'eau cristalline qui entourent leurs îles, ou accomplir des longs périples dans l'océan. A terre, elles prennent l'apparence de femmes ravissantes aux longs cheveux blancs, si fins et si soyeux que certains marins tuent parfois celles qu'ils rencontrent afin de récupérer leurs cheveux et de les vendre à prix d'or, bien que ces pratiques soient rares et interdites. Du reste, les sirènes doivent impérativement s'immerger régulièrement dans l'eau, afin de régénérer leur corps. Si elles s'aventuraient trop longtemps dans les terres sans eaux, elle finirait par se dessécher, puis mourir.
Quant à leur apparence, elle est à la fois simple et singulière. Leur peau est hâlée et couvertes de traces de sels, preuve de leur longue immersion dans l'océan tumultueux ; des tatouages tribaux aux arabesques fines et brutales de toutes les couleurs ornent leur corps musclé et sec. Des boucles d'oreilles et des colliers faits de perles agrémentent leur silhouette. Leurs yeux sont d'un bleu céruléen profond et laiteux, sans pupilles, adaptés aux fonds marins et aux longues immersions marines. Les sirènes portent habituellement des vêtements souples fabriqués à partir d'une algue particulière qu'on ne trouve que sur leurs îles. D'une douce couleur grise, ces vêtements ont la particularité d'épouser les formes du corps et de les sublimer tout en bruissant langoureusement au rythme des mouvements de leur porteur.
Enfin, les sirènes vivent dans de petites bâtisses faites de roches marines et de coraux des îles trouvés sur les plages ou dans les fonds marins. Ces habitats sommaires sont édifiés au bord de l'eau, en cercle concentrique, formant une sorte de calanque merveilleuse où pousse des algues et des fleurs marines et où pullulent les coraux merveilleux. Là vont les vies des belles et langoureuses sirènes, qui chantent parfois leur tristesse ou leur mélancolie sur les roches, sous les bleuités vespérales.
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