Mascaria
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 Divinités et Religions

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Lyn
Lyn
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MessageSujet: Divinités et Religions   Divinités et Religions EmptyVen 23 Aoû - 21:42

Divinités et Religions


La religion occupe une place prépondérante dans l'univers de Mascaria. Ce sujet décrit brièvement les cultes principaux qui y sont célébrés selon les continents et les cultures:

Terre Libre


    Les hommes de la Terre Libre sont pétris de traditions et de légendes. Ils vouent un culte à leurs glorieux ancêtres et aux héros qui ont émaillé l'histoire de leur peuple et qui sont les exemples des générations présentes et futures. Usan l'indomptable, Slenn aux mille visage ou encore Ugrain et Bellia font partie du folklore des hommes libres. Au demeurant, le Peuple libre célèbre les neuf dieux ancestraux dont voici la liste ci-dessus:

  • Saël, dieu du soleil
  • Glann déesse de la terre
  • Vinar dieu des arts guerriers
  • Ishna déesse de la fertilité
  • San déesse de la justice
  • Ank' dieu de l'obscurité, de la nuit, des morts
  • Mael dieu du vent
  • Yria déesse des fleuves, des sources et des océans
  • Nala déesse de la lune, de la guérison, des sciences occultes


  • Le culte est rendu aux héros et aux dieux durant des cérémonies religieuses qui ont lieux deux fois par an à Ouk et Maan' La Blanche, principale cité Libre. Des petits autels, ou des stèles, jalonnent également le paysage de la Terre Libre, permettant de prier quelques instants, de faire des offrandes aux dieux, ou de faire un sacrifice. Enfin, chaque famille possède une statue à l'effigie de son dieu protecteur, qu'elle prie régulièrement, lorsque les aléas du voyage et de la bohème le leur permet.


Îles d'été


    La religion est peu répandue à travers les îles d'été. Les iliens porte sur le monde un regard pragmatique qui exclut toute abstraction religieuse qui est, par essence, pure spéculation. Ainsi, seul Igga, déesse ilienne du commerce et protectrice des marchands est véritablement vénérée. Quelques dieux sont aussi relativement priés :

  • Rel, dieu du soleil.
  • Vesta, déesse de l'océan.
  • Lulia, déesse de la fertilité.
  • Riack, dieu de la guerre.
  • Unter, dieu des morts.


  • Le culte aux dieux est rendu dans de petits temples situés dans les campagnes et dans les principales cités iliennes. Des prêtres y accueillent les pèlerins et les fidèles, et il est possible d'assister à de petites, mais charmantes cérémonies religieuses plusieurs fois par an.


Royaume de Kneol


    La religion est très présente dans la société kneolienne qu'elle encadre et structure. Dans le royaume de Kneol n'est admis qu'un seul culte: celui de Mewan. Dans la culture Kneolienne, Mewan est le dieu suprême, à l'origine de la création du monde, des autres dieux, et des hommes. Tout lui serait subordonné et tout lui obéirait. Les autres dieux auraient été créés dans le but de suppléer Mewan, qui gouvernerait le monde comme le roi gouvernait son pays. Cinq dieux auraient été créés par Mewan afin de régir le monde:

  • Salë, dieu de la justice et de la terre.
  • Ima, déesse des arts et de l'océan.
  • Zegna, dieu du commerce et des vents.
  • Regg, dieu de la guerre et du feu.


  • Mewan, lui, règnerait sur tous les dieux et représenterait la lumière. Le culte est rendu à Mewan dans d'immenses et monumentales constructions supervisées par de savants architectes nommées Kharnôn. Là, se déroulent des somptueuses cérémonies qui ont pour but d'impressionner et d'unifier les fidèles. Dans les plus petites villes ou dans les villages, où il est impossible de construire de tels édifices sont édifiés de petits temples ou des reproductions de Kharnons à taille réduite. Parfois, seul un petit autel, savamment entretenu et orné, permet aux fidèles de se réunir afin de célébrer le culte de Mewan, seul admis au Royaume de Kneol.


Empire Maésien


    Tous les cultes sont admis au sein de l'empire Maésien, à la condition que soient rendus à l'empereur et à l'impératrice  les honneurs qui leur sont dûs. En effet, l'empereur représente la lumière éclairant les ténèbres dans la tradition Maésienne. Le monarque peut donc être destitué de son pouvoir par le peuple, si celui-ci estime que ce dernier ne remplit plus la tâche qui lui incombe, mais répand au contraire l'obscurité sur son peuple.
    Quant aux autres divinités, elles sont toutes acceptées et peuvent être priés par tous. Voici le nom de quelques divinités Maésienne:

  • Lysa, déesse de la fécondité.
  • Elope, dieu des affaires et du commerce.
  • Gin', dieu de la mer.
  • Laok, dieu de la guerre.
  • Mina, déesse de la justice.


  • Le culte rendu à l'empereur est rendu dans les temples impériaux dont le plus important est le temple impérial de Miria. quant aux cultes rendus aux dieux, ils s'accomplissent dans de petits temples ou des autels qui peuplent tout le continent Maésien et que l'on peut trouver à peu près partout, pourvu que l'on cherche un peu.


Pirates


    Les pirates ne croient en aucun dieux. Ils n'ont ni foi, ni loi, ni espoir pour leur âme. Il arrive parfois qu'un marin invoque les dieux de la mer de Kneol ou de Maésie; mais aucune divinité propre aux pirates n'existe.


Daleen


    Les Daleens ne vénèrent aucun dieux. En effet, étant les enfants des dieux, derniers survivants du massacre qui opposa les Daleens à leurs parents, les dieux, ils ne rendent de culte qu'à eux-même.


Races mineures


Naratorïa


    Les Naratorïa ne révèrent aucun dieux. Ils ne donnent pas de noms à des puissances supérieures dôtées de pouvoirs phénoménaux et qui tiendraient le monde dans le creux de leurs mains. Non, les Naratorïas prient une entité universelle, à la fois omnisciente, immanente, et produtrice de liberté et d'individualité. Cette entité à pour nom 'Vaenan' et ne correspond à rien de connu dans aucune des autres civilisations Mascariennes. Elle désigne tout à la fois, le tout de l'univers, et les particularités individuelles de Mascaria interagissant librement et consciemment les unes avec les autres par la volonté de 'Vaenan' à laquelle toute forme de vie participerait, y compris par son refus, sa rage, sa haine, sa colère et ses meurtres. Seul le mot 'Nature' englobe approximativement le sens de 'Vaenan', bien qu'il n'en donne qu'une représentation incomplète et tronquée. De nombreux écrits évoquent cette conception particulière du monde, dont le fameux 'Livre des vivants et des morts', entièrement dédié au culte de Vaenan.
    Du reste, le culte est peu organisé eu sein des tribus Naratorïennes. Puisque Vaenan est immanent, il est possible de le prier où que l'on soit et en toutes circonstances, en se baignant dans une cascade, en se reposant sur un arbre, en chassant les tigres sauvages ou en festoyant avec ses parents au sein du clan. Toutefois, les Naratorïens ont de petits autels au sein de leur foyers, faits de branchages, de cristaux et de morceaux de bois sculptés qui représentent leur adoration à leur divinité mais qui ont davantage une valeur symbolique que sacerdotale.
    Outre ces lieux et objets de culte, les membres du peuple se livrent à une coutume fort étrange: à l'âge de leur treize ans, les jeunes Naratorïens sont envoyés survivre durant trois jour dans le Bois Frémissant à la lisière duquel sont installés les tribus de leur peuple. Au cour de ce périple ils sont amenés à rencontrer leur arbre-cœur qui est, dans leurs traditions, l'intermédiaires entre Vaenan et leur peuple, et qui leur confère paix, sérénité, et qui représente la vie même des Naratorïens. L'emplacement de ces arbres-cœurs est tenu secret par leur détenteur car quiconque aurait connaissance de celui-ci pourrait alors exiger de son possesseur ce qu'il désirerait, ou, pire encore, le tuer.
    Religion mystérieuse et mystique, rares sont les humains à pouvoir la comprendre à sa juste valeur sans faire de dommageables contresens.


Sirènes


    Le concept de divinités est étranger au peuple des sirènes. Leurs croyances professent que chaque être vivant possède une énergie vitale nommée 'Djaek' qu'il fait fructifier, ou au contraire décliner, tout le long de sa vie. Lorsque la mort survient, cette énergie se réincarne en un autre forme de vie, plus forte ou au contraire plus faible en fonction de son existence précédente, ou bien encore persévère en une même forme d'existence. Ce 'Djaek' détermine le rôle des individus, leur force, leur intelligence, et leur hiérarchie dans le monde. Pour autant, il ne correspond pas à l'image d'un destin figé dont la lourdeur pèse sur les vies humaines: il procure la liberté intellectuelle, et la conscience de son destin au sein du monde, permettant l'action libre, et le choix moral. Chacun peut agir dans le but d'améliorer son destin, ou au moins choisir l'utilisation de celui-ci. Les sirènes vouent un culte à cette énergie présente en tout, dans les éléments, les êtres vivants, les roches et les sables marins.
    Un autel, fait de roches marines et de coraux, est le lieu du culte des Sirènes. Celui-ci est situé au centre du village, sur un petit promontoire, au bord des flots, et chaque sirène va y prier régulièrement. Des cérémonies ont lieu à chaque changement de saisons, et lors des grandes tempêtes marines. Les sirènes voient dans ces torsions de la Nature la manifestation de la puissance du 'Djaek' et participent dans des ballets aquatiques aux mouvement de celui-ci. Lorsqu'une tempête survient, le peuple Sirène se rassemble sur les bords de l'océan, et entame un chant religieux sonores et chantant, avant de s'immerger dans l'eau déchaînée. Alors, elles s'amusent à danser avec les vagues énormes d'un vert sombre et crénelées d'écumes, elles virevoltent élégamment en plongeant dans les fonds marins, et elles jouent avec les violents courants qui traversent l'océan. Puis, exténuées et heureuses, elles s'échouent sur le rivage en riant des dangers traversés, et c'est une merveille que de voir leurs corps ruisselant se pâmer sur les plages dévastées.
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